ACCIDENT
Rechercher l'accident, le comprendre, le maitriser pour s'en servir.
Vibration
L'imprimante 3D à dépôt de fil, lors de l'impression, émet des mouvements qui crée sur l'ensemble, des vibrations mécaniques.
L'impression d'objets à ailettes fines amène la machine à déposer de la matière sur une surface en mouvement subissant les vibrations mécaniques.
Les ailettes vibrent et créent ainsi une texture et une matière inédites.
Logiciel
Il existe différents types de logiciels 3D : des volumiques et d'autres surfaciques. Cela signifie qu'un logiciel prend en compte soit la matière de l'objet, soit en constitue juste le contour par des surfaces.
Une surface sans épaisseur est donc modélisable en 3D.
L'imprimante 3D quant à elle matérialise ce qui a été conçu par un logiciel 3D.
Mon intention est donc d'obliger la machine à imprimer une surface dans une physicalité où une surface se doit d'avoir une épaisseur.
J'oblige ainsi la machine à un instant T à improviser.
Paramètres
Une imprimante 3D à dépôt de fil dépose de la matière en effectuant un mouvement dans le but d'imprimer un objet.
Il y a donc une extrusion de matière avec son propre réglage de vitesse. Le déplacement a, lui aussi, ses propres réglages de vitesse.
C'est ce que nous appelons vitesse d'extrusion et vitesse d'amenage.
Il paraît évident que l'un et l'autre sont intimement liés.
Si je dépose un peu de matière très rapidement, j'altère la qualité d'impression.
À l'inverse si je dépose la bonne quantité de matière à la bonne vitesse, je parviens à optimiser précisément la qualité de mon impression.
Les différents modes proposés d'origine dans les logiciels propriétaires de ces machines proposent des filtres avec des paramètres déjà préenregistrés.
Ils permettent d'obtenir des qualités calibrées : haute, moyenne ou basse.
Il m'intéresse donc dans ce cas de jouer avec ses paramètres avec des logiciel open source, pour créer de nouvelles matières